Simples à mettre en œuvre, pratiques à consommer, que ce soit à table ou bien sur le « pouce », et d’un coût relativement abordable, les entrées pâtissières font partie des produits incontournables de la restauration.
La gamme des entrées pâtissières est relativement variée puisque qu’elle regroupe entre autres les préparations salées telles que les pizzas, les tartes, les quiches, les feuilletés ou encore les crêpes. Favorisée par l’engouement pour le snacking, elle s’est notamment beaucoup diversifiée ces dernières années. On peut voir que toutes ces préparations ont un point commun : l’utilisation d’une pâte. Toutefois, différents types de pâtes peuvent être mis en œuvre : à crêpe, à chou, brisée, feuilletée, à pizza, à brick… La composition de ces pâtes, qui est relativement variable, et la quantité utilisée dans le produit fini vont bien entendu avoir un impact direct sur le bilan nutritionnel de ces entrées, et plus spécialement sur la teneur en matières grasses ; une pâte feuilletée étant bien plus riche en lipides qu’une pâte à pizza. C’est pourquoi, comme nous pourrons le voir dans les pages qui suivent, le GEMRCN, qui attache une attention toute particulière quant à la diminution des apports lipidiques et le rééquilibrage des acides gras, préconise notamment de limiter la fréquence de présentation de certaines de ces préparations. Autre particularité de ces entrées pâtissières, elles peuvent également être proposées en tant que plat principal. Là encore, afin d’être en accord avec la réglementation et les recommandations, nous verrons que certains critères sont à respecter.